Et puis un jour, tu fuis


Démuni face à ce monde qui t’enlève toute envie

Tu abandonnes

Tu décides de laisser tomber

En un lâcher prise, tu t’écroules, tu t’effondres

Pour ne plus jamais te relever

Dans un dernier soupirs, tu décides de partir sur un simple « merci, de m’avoir fait vivre »

À toute ces personnes partie trop tôt, à toutes celles qui voudraient les suivre

Attendez

Attendez que quelqu’un vienne vous sauver

Attendez les jours meilleurs et leur couleurs, ceux qui transforment le gris des jours maudits

En jour de joie d’être encore là